Beaucoup de choses ont changé pour moi en un an. Il apparaît désormais une chose clair : le monde est voué à sa perte. J'en suis certain.
Cette machine infernale qu'est l'industrialisation et le progrès, nous guide la voie vers le mur.
A l'heure qu'il est, je me demande à quoi bon continuer mes études d'architecture. A quoi bon améliorer notre existence en repensant la ville si celle ci se fait tuer à grand plan d'urbanisme économique? Tout meurt. L'existence dans cette société devient complétement démente.
Faut il repartir dans la forêt ?
Salut Jérémie,
RépondreSupprimerIl ne faut pas se décourager. Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi quand tu dis : "Tout est déjà mort". Oui, il y a beaucoup de choses qui ne tournent pas rond dans le monde. Mais il y a aussi des beautés, des joies. Alors tout abandonner, ainsi que le combat des générations précédentes, parce que tout n'est pas comme on le veux, ne me semble pas la bonne solution.
Allez Jérémie, tu es jeune. L'avenir t'appartient !!!
Bonne chance,
pengyou
toutsurlachine ( a ) gmail.com
ouais nike sa mere mtn c dead et ta gueule pengyou. ouais ouais 34!
RépondreSupprimerpacouille pacouille pacoooooooooooouille !! joue donc à ce jeu ça te remontera le moral
RépondreSupprimerà lire :
RépondreSupprimerThoreau : Walden ou la vie dans les bois.
Chef-d'oeuvre absolu du retour dans les bois et du retour à la vie !
tu peux le lire comme un guide de survie, comme une ode écologique, comme un Robinson Crusoe volontaire.
Et tu reviendras car tu dois mettre ton énergie dans le combat pour tes idées. Fais FEU de tous bois !
Merci du conseil david.
RépondreSupprimerJ'avais déjà lu "désobéissance civil" de Thoreau et j'avais été hapé par sa facon d'écrire sur la société, la prison...Je vais m'enpressais de commander Walden ou la vie dans les bois, livre qui suscite pas mal d'animation un peu de partout.
J'en te ferais part de mon ressenti bien sûr !
mets ton énergie dans la construction, non dans la destruction!
RépondreSupprimermets en construction ton énergie,non à la violence, oui à la sagesse