Quel est ce sentiment de mépris à l'égard d'une personne ?
Arrivons nous à voir les choses de manière impartial lorsque l'on a la haine ?
L'émotion qui entre en jeu permet elle de juger impartialement la situation ?
Les politiques utilisent l'émotion des gens en montrant la dichotomie victime-agresseur. L'agresseur devient qualitativement, dangereux, inexcusable et punissable. Le sentiment de haine qui peut survenir prend racine dans une transformation de la réalité.
Si nous voulons juger les choses de manière plus impartial, il semble indispensable de ne pas faire entrer les émotions dans les méandres de nos cœurs asséchés.
(texte remanié en Septembre 2013)
(texte remanié en Septembre 2013)
Superbe !
RépondreSupprimerIl me semble que tu touches du doigt le principe du déterminisme (cherche sur Wikipedia, je voulais te filer l'url de l'article mais impossible de mettre un lien ici, c'est curieux), selon lequel, en gros (mais alors en très gros), le futur est préécrit.
Et c'est tout à fait défendable, j'y adhère moi-même (avec une petite réserve quand même). J'aurais voulu écrire un petit truc sur le sujet, mais au vu de l'heure tardive... bon, j'écrirai là-dessus, je le promets !