Blog secondaire dedié à ma sensibilité photographique et à des réflexions personnelles.
lundi 21 juin 2010
Une oeuvre d'un autre temps
Dans un endroit secret de Marseille, endroit que je ne dévoilerai pas pour garder l'intrigue, se cache se cache des choses bizarres...
De curieux serpents bétonnées parcours le sol. Qui ya t-il à l'intérieur ? Le canal de Marseille ? Pourquoi tout ce complexe est-il à ce point caché ? Est on dans X-files et sesconspirations militaro gouvernemantale ?
J'ai été davantage frappé par le second bâtiment, perdu au milieu de l'eau, parce que justement, il est perdu au milieu de l'eau. Je trouve ça plus frappant que "perdu au milieu des collines" - pas dans la façon de le dire, hein, non, visuellement. Une étendue plate de laquelle dépasse un machin de béton complètement aveugle... la passerelle qui y mène suggère qu'on peut y aller, mais pas en revenir. C'est le point final, l'arrivée... je serais pas surpris que ce machin contienne une salle d'exécution. Ça ajoute au mystère !
C'est vrai. T'as raison. Il est quand même extra ce batiment "perdu au milieu de l'eau". C'est dommage que la photo ne retransmette rien de sa monumentalité.
Je suis éducateur végane. Mon métier consiste à faire réfléchir les gens sur l´erreur du spécisme. Ceçi afin de libérer les animaux de la domination humaine vieille de onze millénaires.
J'ai été davantage frappé par le second bâtiment, perdu au milieu de l'eau, parce que justement, il est perdu au milieu de l'eau. Je trouve ça plus frappant que "perdu au milieu des collines" - pas dans la façon de le dire, hein, non, visuellement. Une étendue plate de laquelle dépasse un machin de béton complètement aveugle... la passerelle qui y mène suggère qu'on peut y aller, mais pas en revenir. C'est le point final, l'arrivée... je serais pas surpris que ce machin contienne une salle d'exécution. Ça ajoute au mystère !
RépondreSupprimerC'est vrai. T'as raison. Il est quand même extra ce batiment "perdu au milieu de l'eau". C'est dommage que la photo ne retransmette rien de sa monumentalité.
RépondreSupprimer