vendredi 26 juin 2009

Mickael Jackson est mort

La nouvelle a fait le tour du monde à une vitesse effarante, en quelques heures tout le monde était au courant. Tout le monde ne faisait que parler de ca.
Vous comprenez, c'est bien terrible : Mickael Jackson est mort ! Certains était sous le choc. Le monde entier se mobolise. Bien sûr, en dehors de la vague de surmédiatisation qui vas être déployée par les médias, cela profite encore au politiques, qui saisissent là une ocasion parfaite pour se raprocher toujours un peu plus de la population abruti :
Lorsqu'on voit un Sarkozy "ému" ou une carla Bruni "maussade" et qu'on entend des Frédéric Mitterrand dire "On a tous un peu de Michael Jackson en nous, c'est quelque chose de fascinant", quels moyens plus sûr les politiques peuvent détenir pour assurer une brève mais sincère estime et reconaissance de la part du peuple, dont l'esprit, encore sous le choc de la mort de leur star favorite, est castré de tout esprit critique ?
La recette est simple. Les politiques disent au gens ce qu'il veulent entendre.

Contre la stupidité et l'abrutissement général de la population entière, qui pleure la mort de mickael Jackson mais qui ne vas sûrement pas pleurer le clodo du coin, mort de froid en pleine rue, qui pleure Ingrid Betancourt lorsqu'elle était capturé par les FARC, mais qui ne vas surtout pas pleurer les milliers de personnes emprisonnée à vie dans des blocs de bétons délaissés, qui pleure le pauvre Elvis Presley, mais pas la destruction de la planète par la mafia bourgeoise au pouvoir. Contre toutes personnes symbole d'une civilisation, symbole de l'instrumentalisation du pouvoir, symbole de la célebrité, de l'orgeuil généralisé, symbole de la bassesse et de la stupidité, de l'ignorance, de la mise en boite de la conscience et de la suppression de la réflexion par l'avènement de l'émotion et l'apparence, contre toute cette source de merde mondial, je dis avec conviction et avec une joie immense :

Mickael Jackson est mort, ouvrons donc une bouteille de champagne Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille dechampagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille dechampagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille dechampagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille dechampagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagneOuvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !Ouvrons donc une bouteille de champagne !

jeudi 25 juin 2009

Maisons loucheurs



Voici la maquette des maisons Loucheur. Ce projet m'a intéressé car il dévoile le concept apocalyptique de la mutiplication de masses d'une même architecture pour tout le monde. Originalité zéro malgré un espace bien pensé, beau.
Une maison capable de se poser de partout. Le Corbusier dévoile une facette dangereuse : la banalisation. Il n'y a pas d'endroit précis où posé cette machine. L'architecture devient un produit.Quoiqu'il en soit et même si les maisons Loucheur partait aussi d'une raison social forte, ce projet restera sur le papier.
Le Corbusier cet homme "dont on ne dira jamais assez de bien et assez de mal" disait Pierre Francastel.

lundi 22 juin 2009

hé oui


En ces temps obscurs et brumeux, où l'on voit à la télé dans abrutis toujours plus enfoncé dans leur médiocrité propager dans les esprit benêt et ignorant de la population des pensée clairement xénophobe (Eric Zemmour, l'un des principale representant juste au-dessus), j'ai encore de quoi ne pas officiellement me considérer comme mort. La réflexion est la vie. Un humain ne pensant plus est un cadavre en mouvement. Je viens en effet, de découvrir une facette de la communication et du rapport social de l'individu avec les autres individus.

La confiance en soit est maître de tout. C'est à dire que l'esprit, emprisonné dans les interminables questions de doute, ne peut arriver à l'entretien que de relations irréel et incroyablement faussées. Si l'on ne s'affirme pas et que l'on ne dit pas ce que l'on pense, on n'est finalement pas grand chose dans ce vaste monde, qui ne ce soucie guère de la vie d'une personne.

Si on ne dit pas les choses, les autres ne peuvent pas savoir. Ainsi, l'on se maintient dans une vie qui n'est pas la notre, car les autres voit en nous un personnage que l'on n'est pas. Et c'est paradoxalement lorsque l'on ne se soucie plus de ce que pense les autres de nous que l'on est véritablement nous même. Il ne faut pas avoir honte de sa personne, ni de ce que l'on pense. L'affirmer est en un sens la seul chose qui peut nous conduire à de vraies relation avec les autres.

D'ailleurs, c'est en disant les choses que l'on se fait aimer et que l'on créer des liens (et quiconque peut vivre dans la société sans se sentir aimé de personne n'est probablement pas humain). Certaines personnes nous aimeront, d'autre pas (mais n'est-ce pas la terre entière qui fonctionne ainsi? Aimons nous tout le monde ? non. Détestions nous tout le monde? Encore non).

Si l'on reste toujours entre le compromis de l'affirmation et de la résignation à s'exprimer, (dont le but au final est bien de ce faire aimé des autres) on échoue. Du moins peut on y arriver, mais comme je le dis, ce ne serra pas vrai. Alors, quitte à vivre dans un monde de plus en plus faux, faisons l'effort d'être nous même un peu plus "vrai", tant que notre conscience en a encore la possiblité.

mercredi 17 juin 2009

Un échec cuisant

Voila, cette article n'a peut être pas autant d'intérêt que les autres mais mon état actuel m'incite à taper ses quelques mots.
Je viens de passer l'oral d'un projet d'architecture (celui-ci). Cette opération consiste à expliquer devant des architectes (nos professeurs) son propre projet. Cela parait ridiculement simple dit comme cela, mais ça ne l'est pas toujours.
Chacun installe ses planches sur les murs et se prépare à parler. Il n'y a pas vraiment de délai précis mais disons que parler pendant 10 minutes, c'est une marge respectable. Il se trouvait justement que j'avais beaucoup de choses à dire mais que les profs n'étaient pas vraiment disposer à s'attarder trop longtemps sur mon projet (ce que je ne savais au début). Comme d'habitude, je suis stressé. Ce stress fait qu'en plus de n'être pas clair dans ce que je dis, je parler lentement, cherche mes mots et ma voix trahi un manque de confiance en moi. Résultat : je me suis fait saquer par l'un des profs, un mec plutôt du genre violent, brutal et franc dans sa prise de paroles. Ca m'a foutu un coup.

Je ne sais pas dans quel humeur je me trouvais après ce cuisant échec mais je n'étais pas disposer à être joyeux. Un mélange de haine envers ce prof qui ne m'a pas vraiment laisser parler et une incompréhension du pourquoi de son mécontentement, car au final, j'ai rien compris à ce qu'il me disait.

En réécoutant ce qu'il m'a reproché (j'ai enregistré) j'ai en partie compris certaine chose.

C'est le stress. Le stress détruit. Il désoriente, trouble, et affecte la qualité du discours, de manière considérable. Si bien qu'a cause de lui, j'ai perdu mes moyens et rendu mon discours bien peu compréhensible. Putain de stress de merde. Mais pourquoi étais-je stressé?
Je le sais bien, c'est les autres. Malgré mon opinion sur l'apparence par des choses artificiels (l'article ici) l'apparence naturel, celle que l'on est, ne cesse de me travailler. Les regards des autres élèves fixaient sur moi, voila la cause du stress. Leur attention porté à cette instant précis sur moi. Que pensent-t-ils ? Ne trouvent-t-ils pas ma façon de parler ennuyeuse? Il juge, examine les moindres recoins de mon visage de mon apparence. Les profs également, que pensent-t-ils ? Il me juge, me regarde, m'inspecte.

Miséricorde ! Toutes cette montagne de questions sans fin, ces idées de jugements, tout cela est un ramassi de merde géant qui bloque l'esprit. C'est un frein à la libre expression de soi. C'est un frein au fait d'être. C'est grave, à cause de cela, le rapport qu'on a aux autres diffère complètement suivant que l'on ce pose ses questions ou pas ! Je m'en rends compte : il faut savoir s'affirmer et se foutre des autres ! Je me le dis tout le temps, mais je ne peux que constater qu'entre ce que je dis et ce que je fais sur cette question là, il y a fossé bien profond!

Alors je le dis avec bien plus de puissance et de conviction qu'auparavant (comme cette magnifique couverture de magazine) "YES WE CAN" . Moche, gros, difforme, boutonneux ou même siamois (ou même personne sans aucun forme de laideur, ni d'un quelconque défauts), on s'en branle, vivons pleinement notre vie et notre caractère. Comme ses trois bombasses atomiques qui se dandinent alégrement en exposant leur courbes ioniques, sans s'imposer, affirmons nous ! L'autre nous trouve pas à son goût, on l'emmerde. Progressons sur cette niaiserie ridicule et abattons les complexes une bonne fois pour toute MERDE !

LE REVERS DE LA MÉDAILLE
(j'ai écris cette première parti il y a 1 heure, pendant ce temps là, j'ai encore réfléchi à l'oral est compris finalement la chose suivante)Mais tout n'est pas si simple. Je puis rajouter, après réflexion que bien qu'il faille s'affirmer, cela veut pas forcement dire que si on a un caractère de merde, il faut le montrer. Car s'affirmer nécessite quand même un adaptation. Dans le cas présent, l'oral d'architecture, mon objectif était clair, expliquez mon projet, en deux mots, le vendre. Et voila où cela foire; le stress principalement mais aussi le mauvais jeu d'acteur. J'ai les idées, j'ai les explications, j'ai tout en tête mais je n'ai pas l'aptitude qui va avec! C'est à dire que j'explique mon projet, mais avec le ton en moins. Il n'y a pas de convictions dans ma voix, ou du moins très peu. J'utilise un ton vague, parfois hésitant, mais c'est ma personnalité . Cepandant, le message est-il bien passé ? Non. Les prof, voyant mon temps de réflexion et mes hésitations, on conclut que je ne "sentait pas ma maison" et ne se sont d'ailleurs pas gêné pour me le dire. Je me suis donc fait descendre sur un point qui n'est absolument pas vrai, simplement parce que mon image laisser transparaître une fausse impression.
Voila le revers de la médaille. J'en viens à dire alors qu'il est nécessaire de faire des efforts pour ce faire comprendre et donc pousser plus loin sa façon de voir les choses afin de bien faire comprendre ses intentions. Et cette idée fonctionne partout. Pour la moindre discussions, débats ou échanges, il faut s'affirmer certes, mais aussi s'adapter ! Préciser notre pensée de manière à suggérer ce que l'on veut faire ressentir de manière plus forte.
Un amoureux qui dirait à celle qu'il aime un "je t'aime" sans convictions aucune dans la voix mettrait le doute chez celle qui l'écoute quand à la véracité de son propos. Et pourtant, cette personne est sincère, c'est juste que sa personnalité, son être, est comme cela, n'exprimant que très peu ses émotions. Dans ce cas, la personne s'est complètement affirmé, elle n'a pas triché. Pourtant, le résultat n'est pas vraiment celui logiquement espéré. Le récepteur a eu l'impression que l'interlocuteur n'était pas "vrai".

Il y a donc des compromis à faire, des efforts, dans la gestuelle, dans le ton de la voix, l'intonation, la durée, le silence, les expressions, les mimiques, et tout ce qui concerne la sociabilité en faite. C'est un effort quotidien. L'exemple du projet me la bien démontré. Malgré la connaissance de mon projet, je n'ai pas réussi à faire comprendre mon projet à ceux qui m'écoutaient. Cette connaissance du projet, je l'ai expliqué à ma façon et malgré le stress, j'ai essayé de m'affirmer, j'étais moi. Mes idées n'ont pourtant pas été comprises. D'où la necessité de s'adapter et travailler chaque jour dans ses dialogues à faire au mieux comprendre nos propos. Comme l'avait déjà bien compris l'un de mes collègue, communiquer c'est adopter des normes, des codifications universelles, des "façons". J'en viens à dire : pour communiquer, il faut s'affirmer, mais se plier en quelques sortes au codifications du langages .

mardi 9 juin 2009

Joliette et Estaque


Une agréable surprise dans une rue de la Joliette, tout près de la sortie de métro.


La cathédrale de la Major, tellement robuste. M A S S I V E




Ce genre de plaques arrondie de metal rouillé parfois fixé dans les angles des vieilles rues ne sont pas la reproduction parfaite des boucliers de CRS des années médiévales mais des "anti-pissoirs". C'est quand même drôle d'imaginer un seul instant que le mec qui a envie de ce décharger la vessie vas renoncer à le faire simplement parcqu'il y a cela. Je sais pas combien coute ces machins, ni combien de ressources, d'energie et de mains d'oeuvre ont été nécéssaire à sa fabrication et son installation, mais c'est bien inutile. Le plus ridicule, c'est les pics sur le haut, quelqu'un peut m'expliquer à quoi ils servent ???


A la sortie de la rue étroite, dans le vieux centre Estaquéen.

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L'original entrée de la rue étroite . Par le prolongement de l'une de ses facades sur la rue, on croirait qu'elle nous fait signe, elle nous appel.C'est une invitation.


Les services de nettoyages de la ville ne se doute probablement pas un seul instant que leur engin d'aspiration mécanique posé telle quelle forme une courbe dont l'harmonie n'est pas sans rappeller celle certains Crotales Vénézuelien.