mardi 4 août 2009

Convoitise

Un jour j'étais amoureux et j'avais écris : "L'importance plus ou moins grande que l'on accorde au choses dépend du degré de difficulté que l'on a à les avoir".

Oui, je crois que nous jouissons des choses en grande partie par la difficulté qu'on a à les acquérir (établi par ce que la "culture" de notre société en à faite).

En faite, tous nos bonheurs et tous nos malheurs ne sont pas liés à notre simple vision des choses. Pourquoi certaines personnes convoitent les matelas privés sur la plage alors qu'il y a le sable doux et gratuit ? Si nous étions habituez depuis notre enfance à nous allonger sur des matelas, la situation serait elle l'inverse ?

C'est peut être grâce au malheur que nous jouissons des bonheurs.
(texte remanié en janv 012)

2 commentaires:

  1. Oui, on peut changer la société. Mais le grand non-dit, c'est que notre rôle social n'est qu'un distraction. On peut le faire avec passion, mais il ne faut pas oublier que le véritable défi est de se changer soi-même et le véritable adversaire la condition humaine. Pourquoi le mentionner, puisque, sur ce plan, tout se passe en soi et que les autres n'en sont pas partie prenante ? Parce que la conscience de la valeur relative de la lutte sociale permet de s'y adonner avec plus de sang froid et donc plus efficacement. Et parce que cette prise de conscience répond aux questions que vous posez ici.

    PJCA

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  2. PJCA :
    Je crois avoir compris en gros ce que tu dis (on peut ce tutoyer je pense :D). C'est dans la tête de l'humain que doit ce faire le changement, bien sûr. Encore ne faudrait-il pas qu'il soit trop enclin à l'abrutissement, car au bout d'un certain stade, certains atteignent un point de non-retour, où croyant détenir la vérité, ne changent pratiquement plus d'avis sur les choses et reste à l'état de moutons de par leur écrasante stupidité. J'ai vu une phrase magnifique il y a peu sur le Jura Libertaire :

    "L'arme la plus puissante de l'oppresseur se trouve dans l'esprit de l'opprimé." - Steve Biko


    Je ne vois qu'une seul chose : il faut changer les conscience !

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